sábado, 3 de febrero de 2018

Colonne personnelle: Aujourd'hui, 1er février 2018

Colonne personnelle


Aujourd'hui, 1er février 2018



À la suite de la démission d'un membre du caucus majoritaire et de neuf autres membres de ce même caucus, il me semble utile de dire ce qui suit:

C'est un renoncement absurde, il manque des fondements politiques. C'est simplement une crise de colère d'une personne immature avec peu ou pas d'expérience politique.
Les autres membres qui renoncent manquent de voix, d'idées et de personnalité politique qui ont de la valeur.
L'idéologie que cette démission a lue est le livre d'un savant qui répète des lieux communs déjà soulevés par le régime, et qui manque donc d'importance politique.
Ce que cette démission a réalisé, c'est d'enlever la majorité au groupe qui était majoritaire, ce qui oblige à un réarrangement des forces politiques. La crise a servi à affecter sa sœur, leader du groupe majoritaire et montre un manque de perspicacité politique.
Qui gagne avec ce mouvement est le régime, qui est également en alliance implicite avec la gauche dans la tâche de destruction politique du groupe majoritaire.
Je dois ajouter que cet épisode sert à mettre en évidence l'une des caractéristiques des soi-disant partis politiques au Pérou, à savoir l'absence de formation de partis politiques. Ici, on croit qu'il n'y a pas de discipline de parti et que tout le monde peut faire ce qu'il veut.
Il est également évident qu'en tant que parti composé principalement de jeunes, il y a une absence de formation professionnelle et c'est un facteur de faiblesse dans leur arrivée à l'opinion publique, qui est le résultat de ces événements.
Évidemment, cet événement affectera le comportement politique au parlement péruvien, où le parti majoritaire doit agir avec plus de diplomatie pour avoir perdu une majorité absolue en raison de la précocité politique du jeune frère.
Cela se traduit par une attitude d'arrogance émotionnelle qui le désactive comme un moyen de prendre des décisions d'importance politique.
De ma position, je ne suis pas d'accord avec ces visions qui considèrent que la politique est un accommodement à la situation, et que tout est justifié en termes de revenus politiques. Mes valeurs éthiques et morales sont à l'antipode de ceux qui justifient la déloyauté et la trahison et les acceptent comme des valeurs positives.

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